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L'histoire (Non-finie) des sombres mercenaires dont le suspense concernant la suite vous fait tomber de votre chaise (Titre le plus long C'moi :D)

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Message par Neosphaler Dim 8 Aoû - 22:33

Alors je vous met ça en un gros pavet Very Happy:

Les sombres mercenaires.


Le froid, les morts, cette odeur. Une odeur détestable que ces monstres prennent plaisir à sentir. La guerre, encore elle, elles ne s’arrête plus dans sa quête de mort. Nous y voici, nous, une petite compagnie face à ses ombres invisibles qui attaque de nuit et partent sans laisser de traces. Des assassins redoutables, méprisables et méconnus pour leurs faits lugubres et toujours plus violents.

Ils s’attaquent à nos troupes, ne laissant derrière eux que des dépouilles, vider de leurs biens les plus précieux. Enfin, nous, nous sommes là pour nous débarrassé d’eux, ce ne sera pas tâche facile mais notre détermination et notre courage auront, nous l’espérons, raison d’eux. Notre mission va commencer, nous allons devoir prendre notre courage à deux mains et marcher en direction de l’ouest, loin en Norfendre pour repousser ses terribles assassins. Notre équipement est prêt, nos chevaux chargées, et notre moral est au plus haut, nous avons des informations sur la position de leur base, mais personnes jusqu'à maintenant n’avait été assez fou pour oser y aller, mais, nous, la peur nous ne la connaissions plus, les batailles, nous les connaissions ainsi que les missions les plus dangereuses, nous nous croyons invincibles et cette folie nous mena aux plus profond de l’atrocité. Nous sommes donc en route pour cette contrée lointaine rencontrant sur notre chemins marchand égarée et monstres blessée, rien de dangereux mais ce n’est que le début, le plus horribles nous attends la-bas et nous le savons mais pourquoi reculés, pourquoi abandonnés, nous, si forts, si invincibles, nous étions fou et ça nous le regretteront.

La route est longue, la mort en face de nous, nous approchons de cette contrée si lointaine, nous ne sommes plus qu’a un jour de marche, mais ce jour, une embuscade menée pas les apprentis de ces assassins se produit, nous marchons par un petit chemin en forêt, entouré pas des arbres, des arbres pouvant cacher des personnes, nous le savons, nous faisons attentions, nous sommes séparée en deux groupes, un en reconnaissance et un autre couvrant les arrières. Tout va bien, il fait beau, les oiseaux se taisent, nous le savons ça aussi, nous avons été entraînée juste pour cette mission, nous pouvons remarquée le moindre changement, et celui-la signifie que l’on nous observes. D’un coup, dix flèches sortent des buissons, dix flèches faites pour tuer, mais en une demi-seconde, nos sortons nos boucliers et le mettons en avant pour nous protéger des flèches empoisonnées, puis sans un bruit dix apprentis assassins sortent des buissons dagues a la main et sautent sur nous, plus le temps d’esquiver, plus qu’une chose a faire, sortir nos épée et nous battre, d’homme a homme, mais cette fois-ci nous ne devons faire attention, ces assassins sont prêt a tout les coups-fourrés pour protéger leurs maîtres, le combat commence sur le cri d’un assassins tomber sous la flèche d’un des archers du deuxième groupe, les coups pleuvent, les cris de haine ou de douleur s’enchaînent, un, deux, trois morts les flaques de sang grandissent tandis que nous nous battons pour défendre nos vies, pour ne pas perdre la dernière chose qui nous restent, un de nos amis tombent, un couteau empoisonné dans le ventre, nous ne pouvons pas l’aider, juste le regarder mourir, souffrir, nous aussi nous souffrons, nous sommes une famille, mais le combat ne s’arrête pas, les assassins sont comme nous, la pitié est exclu, le seul but est de tuer, mais leur entraînement n’est pas terminé et cela se ressent quand on se retrouve face a eux, ils n’ont pas de stratégie et- leur équipement est de faible qualités, tout ces problème font que nous avons le dessus, le combat dure vingt minutes, nous n’avons pas besoin de plus de temps pour réussir a les achever, le plus vieux, lui été assez résistant mais rien d’insurmontable, le combat est fini, nous sommes épuisés couverts de sang, et nous avons perdu un de nos frère, le plus jeune, un homme de vingt-cinq ans, jeunes mais déterminé a éradiquée le mal des nos terres, prêt a touts les sacrifices pour sauver son peuple, un homme juste et honnête, un homme que nous aimions, lui il a le droit a une sépulture, lui a le droit a ce passeport vers le paradie. Une fois nous être recueillis sur sa tombe, nous ramassons nos équipements, essayons de rattraper nos monture en vain, le reste du voyage se fera a pied mais ce n’est pas grave , plus qu’un jour puis l’atrocité sera devant nous, plus qu’un jour et nous serons la vérité. Nous repartons, le moral au plus bas mais ce n’est pas assez pour nous achever, nous repartons déterminés a venger notre frère, plus qu’une seul raison pour survivre, le venger ! La chasse a l’homme commence, plus rien en tête a part tuer. Un chemin semer d’embûches en tout genres mais nous arrivons quand-même a leur base un château abandonné, couvert de sang, des humains pendues, l’atrocité devant nous, et ce rire, ce rire effrayant qui ne nous touches pas, un assassin, devant nous, grand, sombre et heureux, heureux de nous voir. Mais nous faisons attention, nous connaissons ces embuscades, c’est pourquoi un de nos archers et poster sur le coté prêt a tire sur l’assassin, il attend notre ordre, un petit geste lui disant « tire ! » , nous l’attendons tous mais nous savons bien que ce n’est pas un vrai assassin, c’est un disciple prêt a tout, un fou sûrement censé éloigner les étrangers, mais nous n’avons pas le choix, il faut le tuer, et juste après le geste de main du chef, l’archer tire, une flèche, en pleine tête, et le corps tombe, presque poétiquement, il tombe et ne cri pas, aucun son, tant mieux pour nous mais ceci est un mauvais présage, il n’avait pas peur, qui sait quel autre fou nous attend a l’intérieur du château ?

Personne ne sait, et peut-être ne vaut-il mieux pas savoir, mais aucune peur ne nous envahie, nous devons aller jusqu’au bout et ne pas nous arrêter, nous entrons, un endroit sombre et lugubre, des ombres, des petits bruits et des couloirs sans fin, ou sont-ils ?
Peut-être nous attendent-ils ou peut-être ce sont eux ces ombres furtives mais présente. Des portes se succèdent, toute fermées jusqu’au moment ou une porte est ouverte, on se cache, le plus expérimenté rentre et laisse échappé un cri, on rentre vite et devant nous, une image, capable de tuer un homme, des dizaines d’hommes torturés, défigurés certains encore vivant, des cris de lamentation, cette pièce était grande, les plus horribles machines de tortures qu’il existait étaient la, de la plus petite à la plus grande, des os et cranes, et des armes de tortures, il fallait se dépêcher, sortir de cette pièce avant que les plus jeunes soit traumatisé, eux n’avait pas vu l’atrocité en face, les enfers, voilà ce qu’était ce château, il fallait en finir une fois pour toute, on court, traversant les couloirs, tuant ce que l’on voie, nous y sommes, devant « La Porte », cet immense porte de bois, elle est entrouverte, on nous attend, il est temps d’utilisé les compétences du Gnome, les explosifs, le Gnome les lancent a travers l’ouverture de la porte, des cris, des flèches, leurs archers sont là et nous allons comprendre le sens du mot sacrifice, les plus vieux prennent leurs boucliers et foncent, foncent vers les archers, ils les tues mais ils se font tuer, un par un, le chef est vivant, mais se fait transpercer, trop tard, il est mort, que faire, nous les plus jeunes, nous n’avons pas le choix, y aller, tous les tuer pour leurs actes, les faire payer de leurs vies, on sort nos armes et on foncent les ennemis tombent, nos hommes aussi, le combat est acharné et dure une heure, a la fin plus que deux survivants, deux Nains, il n’ont plus qu’une chose, reformer la compagnie et tel est leur prochain but, la mission est fini mais les morts sont nombreux, la compagnie disparaît des écrits, peut-être un jour nous en réentendront parler…
Désespérés, nous l’étions après cette mission, nous ne savions plus que faire, fallait t’il continué à vivre en « héros » ou commencer une vraie vie ?
Le courage, voilà ce qu’il nous manqués, il nous avait abandonnés, et c’est pourquoi nous avons pris la décision de dissoudre la compagnie. Nous avons pris la récompense et nous sommes allés apprendre un métier.
Moi, je suis forgeron et mon compagnon est couturier. Nous sommes apprentis et touchons une petite bourse. Nous vivons au fil des armes forgés et des armures crées. Notre vie est tout a fait ordinaire. Les gens habitant le village où nous sommes sont charmants mais nous ne sommes pas mariés. En même temps, l’amour, le vrai, ça n’a jamais été notre passe-temps préféré. Milieu d’après-midi, le forgeron sonne l’alerte !
La population affolée se précipite dans la forêt, des cris parviennent jusqu'à nos oreilles, des brigands sont-là ! Je prend deux haches, en lance une à mon ami et nous rentrons dans la bataille ! Les brigands ne sont pas entraînés, nos haches tournent, coupent, tranches, ce combat est plutôt beau et je pris conscience de la raison de ma présence auprès des mercenaires, la défense des innocents !
La compagnie doit-être recréée, la vue de ces innocents ne me plait-pas, les brigands sont morts mais je suis au bord des larmes, tant de victimes innocentes pour une bourse !
Notre décision est prise, la compagnie va être recréée.
Nous achetons un bateau et entreprenons notre voyage en espérant que la mort ne nous rattrapera pas une deuxième fois…
Trois jours, trois jours que nous sommes perdus en mer, que faire ? la famine nous attaques et la mort est aux aguets. Nous ne sommes plus nombreux, les marins recrutés au port sont presque tous morts au cours de la tempête. Les mâts sont cassés, la coque est lourdement endommagée et les voiles sont recousues a partir des vêtements des morts. Heureusement les canons et nos armes sont en bonne état, un bateau, au loin, aussi rapide que le vent et aussi dangereux que la mort elle-même, ce bateau est connu des armées et pourtant, personne n’a osé les attaquer. Nous sommes les prochains sur leur liste. Ils nous prennent pour de vulgaire marchand, leur première erreur !
Nous les attendons maintenant, canons chargés, fusillés prêt et guerriers en embuscade. Nous sommes deux au milieu du bateau, habillés en banquiers, sans armes, ils s’approchent, s’alignent sur notre flanc et sautent sur notre bateau, heureux de leur trouvaille. Ils rigolent, prennent un air supérieur et nous fixent des yeux, la peur, encore elle, elle s’empare de moi. Ils sortent leurs fusils, mais, en un quart de seconde, nos fusillés tirent, ils tombent. Le sang coule, leurs guerriers abordent tandis que nos guerriers les tuent par surprise et nos fusillés tirent en continu, leur capitaine reste sur leur navire, seul avec une dizaine de soldats, cette fois-ci, nous rigolons. Nos canons tirent sur leur flanc, leur navire coule avant même que je reprenne ma respiration. Nous sommes victorieux ! Mais toujours perdus. Nous continuons notre navigation droit devant au grés du vent et des coups de palme donnés par les prisonniers du navire ennemi. Des mois passent, nous vivons de poissons et de cadavres, paix à leurs âmes,
La terre ! Elle apparaît devant nous, nous somme tous pris d’ un sentiment communs, la joie !
Le bassin de Sholazar se tient devant nous ! Il fallait le traverser, ce bassin et d’après nos i informations, un fleuve le traverse. Cela va être dur !Nous nous y engagons, la remontée ce fait au rythme des découvertes toutes plus extraordinaire que les autres. Voilà deux jours que nous remontons le fleuve, nous mangeons des fruits que l’on récoltent aux alentours du fleuve mais aussi des cadavres, par peur de s’attaquer aux monstres qui boivent aux alentours du fleuve.
Mais un jour, bloqués par des crocodiles de grande taille, un soldat, tire sur une de ces bêtes qui le dévore sous nos yeux choqués par la violence de cette scène, les crocodiles s’attaquent au bateau et nous leurs tirons dessus ce qui est sans effet. Nous sommes obligés de » mettre pied-à-terre, ce que tout le monde fait sans aucune protestations Les crocodiles détruisent le bateau et nous établissons un camp à coté. Maintenant, nous allons devoir explorer et dégager les environs pour établir un village.
Nous sommes en début d’après midi, le petit groupe que nous sommes commence l’exploration, il pleut et l’air est humide, à cause des nuages, seul la faible lueur de nos torches éclaire les alentours, je suis en tête suivis de mes compagnons, les moins expérimentés sont aux milieu et mon bras-droit ferme la marche. Nos armes sont sortis, nous sommes aux aguets, les bêtes immenses doivent êtres encore aux alentours, et si nous ne faisons pas attentions, elle risque de nous tués un par un. Des branches cassent sous nos pied, des arbres sont tombés, sûrement à cause d’une tempête. Les feuilles bougent autours de nous, des yeux brillants nous observent mais aucun de nous n’osent attaquer, peu à peu, les yeux brillants se rapprochent. Par peur, un soldat part en courant, des grognements, un cri, puis plus rien, juste des bruits de chairs arrachés d’un corps. Une peur bleue abaissent le moral du groupe au plus bas, les yeux brillants se rapprochent de plus en plus, jusqu’au moment où une de ces bêtes se jettent sur moi, elle me mort au flanc mais par chances je lui tranche la gorge avant qu’elle ne mordent au visage. Le combat s’engage, les lames tranchent, les bêtes mordent et griffe, peu à peu les torches s’éteignent et l’obscurité nous gagnes, toutes les bêtes sont mortes, sauf une, je lève ma hache et juste avant que je lui porte le coup fatal, la bête pousse un gémissement qui m’empêche de la tuer. Je décide alors qu’il serait plus prudent de rentrer au camp. Sur le chemin du retour, une lueur aveuglante parvient à nos yeux, une lueur plus blanche que les nuages d’été, une lueur qui fait paraître autour de nous une jungle de toute beauté, des oiseaux sont sur les arbres, des sangliers surveillent leurs petits et d’immense dinosaures broute l’herbe haute. Je me retourne et aperçois un mage draneï. Suivi d’une petite troupe de mage, ils viennent apparemment d’un village au centre de bassin, et nous proposent de les suivrent, après quelques heures de marches, nous arrivons au village, il est complètement intégrés à la nature, les maisons sont construites autour des arbres et la mairie est elle autour du plus majestueux arbres que je n’ai jamais vu. Les habitants se massent autour de nous et essaient de comprendre chacun de nos mouvements. Un druide coure vers moi et prend le petit animal dans ses bras puis il repart vers sa hutte suivis de deux apprentis. Le mage nous conduis devant le chef du village et nous demandes de nous expliqués. Quelques minutes plus tard, une fois notre narration terminé, le chef nous propose un toit et nous dit que nous pouvons resté tant qu’il nous plaira. Les jours passent et les découvertes sont de plus en plus étonnantes. L’animal se remet sur pied peu à peu et un chasseur m’apprend comment lui parler, au fil des jours, nous partageons nos jeux, chassons ensemble jusqu’au point de pouvoir anticiper les mouvements de l’autre. Ayant donc fini mon entraînement avec mon compagnon, je peut recommencer à chasser avec le reste du groupe. Nous avons appris des tas de choses sur l'environnement qui nous entours, nous savons à qui il ne faut pas s’attaquer et nous avons appris les rituels que nous devons pratiquer après avoir tuer tel ou tel bête. Les coutumes de cette région sont très différentes des nôtres, quand il tue une bête, ils prient pour que leur âmes ne se perdent pas en chemin, quand ils coupent un arbre, il s’excuse au près de lui et l’enduit d’une sève pour réparer ses blessures. Nous devons donc apprendre tout leurs rites avant de partir à la recherche de nouvelles missions, sinon la colère de leur dieu s’abattra sur nous !
Après avoir appris leurs rites, nous décidons donc de partir créer notre camp.

A suivre...

Suite:

Chapitre II : Retour vers le passé

Les jours passent, nous sommes devenus des amis du village, nous ne sommes plus des mercenaires, cette vie est passé, fini les tueries, fini les contrats de mort, nous vivons en harmonies avec les hommes. Un jour important approche, ce jour nous rendra définitivement membre du village. C’est un ancien rite qui permet de « voir » le passé des gens, grâce à ça, les anciens pourront estimé si oui ou non nous sommes digne de la vie qu’il nous accordent. Le rite approche donc à grand pas et les villageois ne nous parlent plus, nous devons être mis à l’écart pour nous laisser le temps de réfléchir à nos actes passé, ce qui est presque un cauchemar, mon passé n’est que mort et trous de mémoire, mon enfance à disparu de ma mémoire.
Le rite est dans trois heures. Nous sommes recouvert de sève, et tous les villageois préparent un festin et un grand feu, les anciens préparent leur mixture et en attendant le moment tant attendu, on nous conseille de dormir.
On nous réveille, il est l’heure, tous les villageois sont là, les anciens sont debout et nous attendent, nous nous avançons au rythme des tambours, certains villageois dansent, d’autres chantent et tous acclament le feu gigantesque qu’il y a devant eux. Les anciens nous donnent à chacun un bol de leur mixture, nous buvons et des flash apparaissent, je vois deux adultes devant moi, ces deux adultes sont des nains. Je les voit morts, le sang recouvre le sol, et l’on m’emmène je ne sais où. Je suis enfant, je vit mon enfance. Je vois mes parents adoptifs, puis l’arène, je vois tout, mes je ne peut pas contrôler mes mouvements. Je vois mon apprentissage en tant que guerrier, mes combats à l’arène, puis le noir. Quelques minutes passent et je me réveille.
Les anciens sont penchés sur moi, ils me regardent et me disent : « Nous sommes désolés, nous ne pouvons vous acceptés dans notre village, votre passé est bien trop violent ». Le lendemain, je part dés l’aube. Je suis le seul à ne pas avoir été acceptés au village. Je marche donc seul dans le bassin. Je marche sans m’arrêter, je ne sais pas où je vais. Je veux juste m’éloigner au plus vite du village. Je m’arrête car la nuit va approcher. Je prépare un camp, un feu et commence à manger les maigres vivres que m’on donner les habitants du village. Une fois la nuit tombée, je me met dans mon duvet et regarde les alentours, une ombre furtive surgit devant moi. C’est un homme, il vient apparemment de loin, il veut venger son frère et il me dit que c’est moi qui l’ai tué et que c’est la raison pour laquelle les hommes me recherché. Son frère était un membre imminent d’une ville. Il dirigeait la garde, était aimé de la population mais avais aussi de nombreux ennemis. A cette époque, j’était un nain perdue, j’étais donc banni de Forgefer et j’errais dans les rues d’après les propos de l’homme. Je buvais, et passais la plupart de mes soirées dans un bar malfamé, et, dans ce bar, un ennemi de son frère m’a apparemment empoisonné, j’ai donc tué son frère à cause de ça. L’homme, me dit qu’il me laisse une dernière chance de me racheter, je dois venger son frère !

A suivre…

C'pas trop long pour l'instant Very Happy

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Message par S.T.O Dim 8 Aoû - 22:56

Bah comme d'hab Nice
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Message par Neosphaler Lun 9 Aoû - 13:48

Merci Very Happy
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