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Une histoire, MON histoire...

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Une histoire, MON histoire... Empty Une histoire, MON histoire...

Message par Yuri Boyka Dim 8 Aoû - 16:57

Je précise que ce BG a été écrit il y a très longtemps, donc désolé si les termes sont des termes n'étant plus d'actualité, j'ai la flemme d'actualiser les lieux etc.

Légende :
Rouge : Titres.
Vert : Description des lieux/personnages.
Bleu : Histoire.


PARTIE I : Un passé sombre...


(Musique d'ambiance : https://www.youtube.com/watch?v=X-KlzfV8_DI )
Prénom : Arkham.
Nom : Inconnu.
Âge : Inconnu.
État civil : Célibataire.
Monture : Cheval de Chevalier de la mort.
Ville : Aucune.
Habitation : Toujours en déplacement.
Religion : Les forces de l'ombre.
Race : Elfe de sang
Classe : Nécromancien acquéri.
Qualités : Puissant, rapide, résistant.
Défauts : Parfois orgueuilleux, vantard.

Histoire :
Mon nom est Arkham, mais vous n'en saurez pas plus sur mon nom. Je fus, lorsque j'étais petit, un fils d'un grand Elfe de Sang. J'avais une sœur, que j'ai assassinée par accident. Suite à cela, mon père me bannit. Je fus dès mes 3 ans en errance dans la nature. Puis, un mort-vivant armé d'une faux vint me trouver. Il me proposa d'aller avec lui, d'être hébergé etc... en échange de quoi je resterais avec lui. J'acceptai, aveuglement le marché. J'arrivai dans une espèce de lieu hanté, détruit par la nuit, détaché du monde. Cet endroit était la Prison éternelle.

Dès que j'arrivai ici, je sentis une sorte de frisson en moi : j'avais subitement pris une vingtaine d'années d'un coup. Me demandant ce que c'était, ce mort-vivant, que j'appelai plus tard Azmelak, me dit que c'était l'effet premier de l'arrivée ici : la prise de 20 ans, le temps était ensuite gelé...

Mon nouveau maître me traita comme son fils, je pus apprendre tout l'art du combat. Puis, étant quelqu'un qui en redemande toujours, je voulus savoir plus. Azmelak m'apprit une partie des technologies gnomes et gobbelines. Ces études semblaient avoir duré des années... En fait, nous étions toujours le même jour à la même heure pile. Puis, suite à une agression par une bande de prisonniers de cette prison, je commençai à me renfermer sur moi... Mon maître me dit "Tu as l'âme d'un démon : d'un nécromancien" N'y croyant pas, je voulus m'enfuir loin de là, mais rien qu'à la porte une barrière anti-démon y était interposé : J'en étais repoussé et ne pouvais passer. Je restai sans voix...

Je me résolus à apprendre toute la magie de l'ombre, étudier toutes les caractéristiques de toutes formes de démons, passant du gangrechien aux légendaires Hyldens. Puis, lassé, n'ayant toujours que mes 23 ans pile, je demandai à mon maître de m'apprendre à utiliser l'hypnose(contrôle d'esprit) et à m'en servir comme bon me semble. Je ne l'appris en échange que d'une chose : À n'utiliser qu'en cas de besoin. J'acceptai. Au bout d'officiellement... Enfin non, au bout de 0 secondes, je connaissais toute cette complexité magique qu'était l'esprit.

Puis, en ayant marre, ayant étudié dans mon coin, je trouvai quelque chose sur la barrière magique qui m'avait jadis repoussé, ou plutôt repoussé à l'instant...J'appris qu'il fallait, pour la détruire, du sang de mort-vivant, qui était très rare. Je vins trouver mon maître, dégainai mon épée, puis, avec regret et en m'excusant, lui tranchait l'abdomen, son sang gicla sur la barrière, maintenant détruite, et sur mon visage : Mon maître était bien vivant, blessé certes, mais vivant, il me dit "Nous sommes maintenant en liaison sanguine...". J'eus compris qu'il voulait dire que maintenant que j'avais aspiré de son sang, une partie de l'énergie que je gagnais lui serait réattribuée afin de le guérir un peu plus à chaque fois, puisqu'il était blessé à vie...Lorsque je commençais tout juste à sortir de la Prison éternelle, j'ai été fait arrêter par une race que je ne maîtrisais pas encore tout à fait : Les vampires, touchés par la malédiction de la soif de sang... Et je fus jeté dans les abysses du temps, auxquelles j'ai survécu...Mais pas indemne.
J'étais bel et bien dans la nature, errant à nouveau, comme il y avait 20 ans... Tout avait changé : en réalité, dehors, il s'était écroulé bien 1000 ans...

Je me baladai tranquillement dans une zone déserte et abandonnée, puis, je croisai des démons, sans presse je les détruisis, sans difficulté particulière, avec un "Trait de l'ombre amélioré" que m'avait jadis appris mon maître. Je sentais en plus que j'aimais ça, donc je me mis à aller attaquer de nombreuses villes et les rasai de la carte. Mon pouvoir augmentait à chaque victime que je faisais... Puis un jour, je tombai sur une colline, ressemblant à celle de la Prison Éternelle, en différent... Une épée était plantée solidement : l'épée de Blitzkrieg, un puissant guerrier de l'Alliance... Je pris l'épée, avec du mal, puis je sentis une douleur à l'intérieur de moi me déchirer...J'étais devenu quelqu'un d'autre, en restant le nécromancien avec toutes mes connaissances intactes etc... j'avais envie de faire le bien de l'Alliance, que je détruisais en quête de pouvoirs depuis des années... C'est là que ça se finit, nous arrivons au présent...


PARTIE II : Une conquête de Lumière...


(Musique d'ambiance : http://www.deezer.com/listen-4093020 )
Prénom : Lasox
Nom : Inconnu.
Âge : 37 ans.
État civil : Célibataire.
Monture : Destrier lumineux
Ville : Hurlevent.
Habitation : Donjon de Hurlevent, général du Roi.
Religion : Vénère la Lumière en espérant un jour en être l'allégorie.
Race : Humain.
Classe : Paladin.
Qualités : Extrêmement puissante force de frappe et courageux.
Défauts : Lent, naïf(Ça va aussi dans qualités, car ce n'est pas forcément un défaut).


Histoire :
Cet homme s'appelle Lasox et il vient d'une petite prairie de Mulgore. Il est né dans une famille d'humains qu'il n'a jamais connue...Il fut recueilli dans une famille de Tauren qui l'éleva comme leur propre fils. Ces taurens lui enseignèrent les bonnes manières, le combat, vu qu'ils habitaient près d'une mine de kobolt hargneux... Ils lui apprirent également l'art du self-control.
Ce gentil petit homme fut un jour envahi par les kobolts qui tuèrent ses "parents". Lasox ne s'en est pas remis avant un moment...Puis, errant dans les plaines de Mulgore, il a grandi en solitaire en parcourant un peu tout le continent, puis, un jour, il trouva un ancien paladin devenu forgeron à cause de son âge... Ce forgeron sentit une force insoupçonnable chez ce jeune homme. Il décida alors de l'aborder, mais, le jeune homme, encore un peu choqué du massacre de son enfance, ne parla pas beaucoup. L'homme réussit enfin à le convaincre de se livrer aux autres, de s'ouvrir... Puis, en récompense de ses énormes efforts, lui forgea une épée pour s'en servir et lui apprit à s'en servir. L'épée étant extrêmement lourde car composée en un métal extrêmement résistant et très tranchant une fois aiguisé, le jeune homme dût prendre un peu de muscle pour pouvoir continuer son parcours avec elle...Cette épée, il l'avait nommée Licht-Gift, en allemand littéraire : Le poison de la Lumière.
Lasox, étant épuisé, sentit, lors de la nuit dans laquelle il sommeillait, une force lumineuse intense le brûlant. Cette brûlure, contrairement à ce que l'on pourrait le croire, semblait le soulager et le soigner... L'homme se précipita voir le forgeron, qu'il trouva assassiné par quelques assassins qui disparurent quelques secondes plus tard...Sauf un, qui allait être capturé par Lasox et lui retira tous ses secrets, dont son nom, assez étrange : Esholzène. Ce dernier, exécuté par Licht-Gift, devint poussière juste après le coup porté par l'épée, Lasox ne comprenant rien, vit une inscription étrange apparaître en lettres dorées : "Licht-Gift sera le nom du porteur de cette épée." Lasox n'en crut pas ses yeux. L'épée était magique... Il parcourut encore les terres dévastées de Kalimdor puis il rencontra un homme, ce même Azmelak, qui était encore un humain... Ce Azmelak était paladin au nom de l'Ordre d'Argent, et lui apprit toutes ses connaissances sur la lumière...Puis décida de l'emmener en Azeroth...
Une fois à Azeroth, les deux hommes se rendirent en Hurlevent, où Lasox fut accueilli en héros...Il ne le savait pas encore mais il avait un brillant avenir devant lui... Azmelak lui, pendant la nuit même où il était de retour, se fit assassiner par des bandits de Esholzène. Lasox jura de se venger. Il entendit les cris, auxquels il alla porter secours à son maître déjà mort... Il détruisit tous les assassins avec hargne et détermination. Les corps, coupés en deux, devenaient aussitôt de la poussière...Lasox fut nommé paladin de l'Ordre d'Argent en remplacement d'Azmelak.

Plus tard, Lasox, parcourant toutes zones étant ravagées par le Fléau, arrivait, croisait tous les 10 mètres une paire de morts-vivants, il les exterminait tels des mouches tombant sous un insecticide : Il utilisait un des pouvoirs appris par son maître décédé : L'horion sacré.
Cet Horion sacré fut maîtrisé avec prudence et puissance par le paladin. Plus tard, il arriva devant Stratholme, il y entra en courant et détruisit tout sur son passage. Les écarlates hurlaient tels des tabulks en train de se faire abattre dans un sol de piques, mendiant la merci de Lasox, mais Lasox les exécutait au nom de la réelle Lumière. Après son passage à Stratholme, il arriva face au baron Vaillefendre et son serviteur Ramstein, qui le repoussèrent de Stratholme. Lasox était ébahi par la douce et douloureuse sensation de l'ombre... En revenant des Maleterres, le roi l'attendait : Il allait couronner Lasox en ayant appris ses exploits à Stratholme. Lasox est depuis, un vaillant général du roi résidant dans le Donjon de Hurlevent... Mais l'histoire ne commence que là...


Chapitre I : Un amour démoniaque...


(Musique d'ambiance : http://www.deezer.com/listen-4093013 )
Personnages : Le roi, Elenna, Arkham, Esholzène.
Lieux : Hurlevent, Forêt d'Elwynn, Maleterres, Terres foudroyées.

Histoire :
Je vins trouver le roi de Hurlevent. À peine arrivé j'étais sifflé par les mendiants, insulté par les commerçants qui croyaient montrer un coeur en disant des choses du genre "Tu as tué des tas d'enfants... des innocents !" ou d'autres choses que je passe... Les gardes, voulant paraître courageux, se mirent à attaquer...en vain, ils ne sont pas morts, seulement à terre...Plus je m'approchais du roi, plus je voyais les gardes armés, à l'entrée du donjon, ils avaient une armure à en tomber par terre, tellement puissantes qu'elles en dégageaient une aura dorée sur les glyphes qui étaient inscrits... Leur corpulence dépassait celle d'un homme normal...Je préférais ne pas aller à leur encontre... Je leur dis que je voulais tout simplement voir le roi pour parler affaire. Ils me firent attendre et l'un d'eux vint prévenir le roi. Ce dernier me dit aussitôt d'entrer. Ce que je fis. Je lui ai dit que je n'étais pas là pour me battre...Il ne voulut pas me croire et dégaina son arme; au moment où il allait porter son coup, son arme se stoppa net devant moi et il tombit d'ébaillement devant Blitzkrieg, il désirait ardemment savoir comment je me l'étais procurée... Je lui ai raconté l'histoire de la colline...Il ne me crut pas et voulut me faire arrêter, les gardes me tenant, un des généraux, Lasox, prévint le roi de la mort de Blitzkrieg avouée par des trolls sauvages... Je fus libéré, mais le roi ne me croyait toujours pas...Il croyait un coup monté...

Je lui rappelai la légende de l'épée de Blitzkrieg, qui était "De l'Alliance son porteur fera le bien. Ne fera jamais ce qui pour l'Alliance est vain."; Le roi semblait vraiment ne pas connaître cette légende. Mais je lui ai laissé lire cette écriture... Sa théorie ne tenant plus debout, il me demandait ce que je voulais. Je lui répondis que je voudrais devenir un noble servant de l'Alliance. Il me questionna sur mes talents qu'il connaissait déjà je pense, puis je vis une jeune fille au loin dans la pièce du fond, je l'entendais murmurer "Comment un tel ami a-t-il pu nous abandonner ?" c'était une elfe de sang, son visage me semblait familier...Le roi m'interrompit dans ma pensée et me dit qu'il allait y réfléchir. Je repartis aussitôt pour une petite "balade" dans les Maleterres en solitaire...Au moment où je m'apprêtais à sacrifier un peu de mon sang en offrande à mon maître que j'avais autrefois handicapé, un garde Royal semblant avoir la plus puissante armure, vint me trouver et me dit que je pouvais encore attendre...pour verser ce sang et que je devais me rendre au Donjon. Cette arrivée était plus glorieuse que la précédente, j'étais clamé en "Sauveur" mais, une fois au donjon, toujours et encore cette fille...Je me décidai enfin à la voir. Elle était tellement belle...Je ne semblais pas être ce "sauveur" que le peuple clamait à ses yeux... Elle m'ordonna de la laisser tranquille avec un air sombre et haineux...Voulant à tout prix savoir et la connaître, je lui ai juste soutiré son nom : Elenna. Je lui confiais le mien, elle semblait étonnée, m'appelait mais c'était trop tard, j'étais parti...

Le roi m'appelait dans les instants qui suivent et il m'envoya en mission détruire tout clan gnoll que je verrai dans la forêt d'Elwynn, histoire de voir ce dont j'étais capable... J'allais aveuglement au service de cette fière personne, détruire avec ridicule tous ces gnolls, les gardes qui passaient semblaient bien rire de ma tâche...Je me retenais de les exécuter, ces moqueries, elles ne font que m'énerver, si seulement ils savaient... En pleine rigolade de la part de cette bande d'abrutis, Elenna vint me trouver pour me parler. Il s'en fallait de peu avant que ces gardes ne soient mes victimes suivantes. Elenna me dit pourquoi elle était étonnée auparavant...Elle avait eu un ami lors de son enfance, du nom d'Arkham, et que cette personne était et est la seule personne à porter ce nom dans le monde entier...Elle m'a raconté également que cette personne était une amie très proche et qu'elle l'a vu s'enfuir lorsqu'ils n'étaient pas encore enfant...à environ 3 années humaines...L'âge où je fus banni...Elle me disait qu'elle aimait énormément cette personne et qu'elle ne s'est jamais remise de cet exil. La mémoire me revint également : C'était la fille que j'aimais tout en le lui cachant auparavant...

Je lui ai tout cité ce que mon abruti de père m'avait dit ce jour : "De ce jour tu n'es plus mon fils, tu as assassiné ma propre fille, la moindre approche du temple te fera exécuter." puis que je fus repoussé violemment... J'avais beau hurler, pleurer, m'excuser, le supplier, rien à faire, il ne voulait pas entendre raison d'un accident. Je le haïssais pour ça... Elenna m'écouta avec attention et me reconnut aussitôt, elle me sauta dans les bras en me disant "Pourquoi n'as-tu pas essayé de me revoir ? Tu comptais tellement à mes yeux, mon ami..." mais j'ai dû lui expliquer mon emprisonnement à la Prison Éternelle. Elle croyait que ce n'était qu'une légende et ne croyait pas que j'avais pu en sortir, mais, voyant mon épée, elle semblait avoir compris pourquoi j'étais là...

Plus tard, pendant la nuit, j'entendis un cri de femme : Elenna était en train de se faire kidnapper ! Je fis aussi vite que possible pour courir et lui porter secour, mais quand j'arrivai, je voyais Esholzène, un bandit, transformé en démon puissant en l'air, tenant Elenna dans ses bras, je lui ordonnais de la relâcher, puisque c'est moi qu'il semblait vouloir, il ne manqua aussitôt pas de dire "Viens la chercher si tu la veux !" puis, avec son épée flamboyante, libérait une vague de flammes aveuglant tout le monde et s'enfuit dans un ricanement ridicule. C'était le moment de montrer à Elenna que je tenais à elle et à Esholzène mes réelles capacités...

Je me renseignai sur Esholzène et j'ai su qu'il était parti pour La Péninsule des Flammes Infernales, la terre brûlée par la haine et la colère. La terre où il semblait le plus puissant puisqu'il s'y sentait à l'aise. J'étais parti pour La Péninsule...

CHAPITRE II : Un rêve, une solitude.

(Musique d'ambiance : http://www.deezer.com/listen-546578 )
Personnages : Azmelak, Elenna, Lasox, une troupe de soldats.
Lieu(x) : Péninsules, bois de la pénombre.


Histoire :
Elenna étant partie, la nuit, je fis un cauchemar : J'arrivais enfin à destination, aux Péninsules, mais Esholzène était introuvable. Il était en effet dans un endroit caché : Les remparts. Cet endroit était infesté de monstres aussi horribles que mon ancien seigneur de faction : Varimathras. Ces monstres n'étaient pourtant pas si inoffensifs qu'ils n'en avaient l'air : En effet, ils étaient assez rapides et plutôt puissants, mais manquaient énormément de précision. Leurs chiens étaient laids également, et étaient plus puissants mais moins rapides que leur maître. Ces chiens ressemblaient à des hyènes : C'était bel et bien le Mal à l'état pur dans ce domaine.

Je parcourais discrètement cet endroit aussi immense que la faculté mentale, intellectuelle, magique et physique que j'ai acquise et là, je les vis : Elenna, dans une cellule remplie d'un liquide légèrement rouge et des bulles d'oxygène s'échappant vers le haut. Elle était inconsciente, et lui était là, avec un autre homme, en train de parler d'elle comme d'une monnaie d'échange. Je n'entendis pas ce qu'ils voudraient en échange, j'étais vu, je venais de faire tomber une lourde claymore à terre. Esholzène n'avait pas l'air surpris de me voir.

Une petite conversation s'en suivit, dont chaque propos était aussi haineux que les trolls, et tout aussi provocateurs que les humains que j'ai failli exterminer. Le combat s'en suivit aussitôt étant donné la conversation. Les coups partaient comme un athlète faisant la course, la douleur s'invitait et nous contaminait tout en se multipliant, les blessures se rendaient rapidement visibles. Moi, agenouillé et lui mort, m'appuyant sur le manche de mon épée, je regardais de bas et avec mépris l'autre homme. Esholzène en profitait, n'étant pas mort, pour m'intercepter... Et ils s'enfuirent avec Elenna. J'étais si près du but...

Je me réveillai en sursaut, ne voyant que je n'étais qu'à Hurlevent à l'auberge avec mon équipement de prêt, équipement que je ne portai pas. Je partis avec une troupe soi disant des meilleurs hommes du roi...Dont Lasox. Le chemin était hardu. Nous avons affronté bon nombre d'ennemis avant d'arriver à la première zone : Le bois de la pénombre. Cette zone porte bien son nom, j'y suis arrivé les pieds sur le sol, la tête pleine de boue, je marchais dans un sol qui n'était qu'illusion. Les ombres sont mon domaine, je savais donc où passer pour ne pas tomber dans un piège. Toute la troupe n'a pas suivi et a péri dans un gouffre, ou dans une embuscade. Seul Lasox a survécu...Nous n'étions plus que deux.

CHAPITRE III : Un couple oxymore dans une pénombre homogène.

(Musique d'ambiance : http://www.deezer.com/listen-3107060 )
Personnages : Arkham, Lasox, Dakam.
Lieu(x) : Forêt de la pénombre.


Histoire :
La pénombre, les ombres, le néant, la clarté-obscure, la monochromie aussi sombre que monotone. Voilà ce qui décrivait le décor dans lequel je me trouvais. Derrière moi, ombre parmi les ombres, rampant tel un serpent dans un milieu similaire au mien, un atavisme de mon enfance et de ma jeunesse. À l'arrière de moi, Lasox, tel le rouge dans le vert, brillait d'une manière solaire quasi divine et, absolument pris de panique d'une embuscade aussi corsée, il voulut reprendre la route arrière afin de pouvoir prévenir le roi de la mort de nos troupes. Ah ! Mais qu'il y aille ! Ça ne me fera que plus plaisir d'être seul, un moment. Continuant à marcher à travers les fumées noires, les arbres obscurcis, les cadavres putrides et à moitié décomposés, et les bêtes démoniaques, je recroisai Lasox, là, en train de combattre des araignées et des soldats du diable en les laminant un par un de coups d'épée, des explosions lumineuses et autres. Toutes ces attaques volaient à une vitesse fulgurante et rongeaient les démons de l'intérieur, les détruisant totalement l'un après l'autre. Une fois le génocide fini, je fis quelques pas et m'approchai de lui afin de lui parler. Que faisait-il là ? Pourquoi était-il en avance devant moi ? Il me répondait qu'il était totalement perdu et que les ténèbres l'avaient enseveli. Pour la première fois, mon sentiment de haine dans mon passé se forçait de rester dans un coin perdu de mon intérieur propre et je proposai mon aide, qu'il acceptait sans hésiter.

Tandis que nous marchions, Lasox avait "éteint" son armure, afin de ne pas attirer tous les démons possibles et imaginables. Mais vint alors un moment où un vieux souvenir se présentait à moi : Dakam, un de mes compagnons de cellule, venait de faire surface. Je lui demandais évidemment ce qu'il faisait là, et il m'avait répondu que suite à mon évasion, la porte était restée ouverte assez longtemps pour que plusieurs prisonniers avaient pu s'échapper et que certains voulaient ma mort. Ma mort ? Mais, je ne sais même pas si je le suis déjà... Il m'a rétorqué ensuite qu'il était de ceux là et me provoqua en duel. Je demandai à Lasox de me couvrir et de faire en sorte que le duel reste singulier et loyal. J'attendais, là, comme une barre d'acier immobile. Dakam, impatient, courut vite à une vitesse affolante et au bout d'une paire de pas, fit un bon spectaculaire tant au niveau de la distance horizontale parcourue qu'à la rapidité du geste et me prit par surprise par une attaque à mains nues dans le visage. Mon sang coulait de la griffure passant d'une part d'au dessus de mon œil à en dessous, d'autre part une deuxième trace similaire me traversait entre les deux yeux de la même manière. Pris d'orgueil d'avoir pris un coup, je voulus me venger, je me lançai à lancer quelques coups d'épée, par ci, par là, mais au bout de quatre, je réussis enfin à le toucher. Il se mit à courir pendant que Lasox tuait des démons surgissant de partout.

Moi, abandonnant Lasox à son triste sort, me mis à la poursuite de Dakam, afin de poursuivre la guerre. Ses bonds étaient gigantesques et ma vitesse de course n'arrivait pas à suivre son talent de fuite. Je me retrouvai rapidement dans une grande cage de dimensions similaires à une petite arène. Avec des créatures démoniaques surpuissantes à battre. D'abord un gangrechien enflammé. Sa peau était faite de cendres et son corps et sa tête de feu. Je lui assénais des coups d'épées, mais rien à faire, les cendres restaient en place. Il se mettait à me propulser sa tête en feu comme si c'était un canon qui tirait son boulet sur un navire. Puis une nouvelle tête revenait à la place de la précédente. D'un point de vue stratégiquement réfléchi, j'essayai de lui trancher la nuque afin que sa tête ne revienne pas. Chose purement et parfaitement bien réfléchie, le gangrechien en tomba mort aussitôt. Puis vient un mort-vivant enragé, avec deux lourdes haches. Je savais que le combat rapproché ne rapporterait rien en matière d'avantage pour moi, ce pourquoi je me mis à le repousser entre deux de ses attaques puis "l'enchaînais" avec une chaîne démoniaque que m'avait appris Azmelak. Puis, l'enchaînant de sorts aussi machiavéliques les uns que les autres, je l'achevais au bout du quinzième. Puis, vint la créature la plus dangereuse dans ce monde : le Hylden, le plus redoutable des guerriers et insensibles aux attaques démoniaques ainsi qu'aux attaques physiques...Je n'avais plus le choix, je me mis à courir afin d'éviter que la créature ne me massacre. Puis, dans une seconde de répit, je grimpais aux barres de métal afin de me coincer en hauteur dans le but qu'il ne puisse pas m'atteindre car le Hylden n'est pas une créature agile, mais une créature puissante. Une fois suspendu, je m'incantais à moi même des chaînes démoniaques pour ne plus en bouger. Puis, bien fixé, j'utilisais le contrôle mental que mon même maître Azmelak m'avait enseigné. J'étais dans le corps complexe du Hylden et j'avais peu de temps tant sa force était puissante. Je le fis tordre les barreaux afin de me laisser une ouverture puis je le fis plonger dans la rivière qui coulait non loin. Le Hylden était coincé dans l'eau à jamais.

Je m'auto-relâchai, puis me remis à courir. Soudain, apercevant Dakam distrait et ne me regardant pas, je me faufilai discrètement à lui et lui sautai dessus, et, contrairement à lui, je n'ai pas commis l'erreur de simplement le griffer. Je le plantai au niveau de la cuisse, afin de l'empêcher de s'enfuir à nouveau. Puis un court et bref combat commençait. Il essayait de se débattre comme il le pouvait, et il me donnait du fil à retordre, mais je trouvais le moyen de l'affaiblir de plus en plus et finis par l'abattre en lui plantant mon épée directement dans le cœur. Son sang giclait, jaillissait comme la fumée jaillirait d'un volcan à BlackRock. Son cadavre s'était dissipé en poussière et une lumière blanche flottait au dessus de ce dernier. Elle s'approchait de moi à ma "demande" et je sentis mon corps se transformer... Je venais d'absorber le pouvoir de Dakam et avais ainsi le pouvoir de bondir aussi loin que lui.


PARTIE III : Un esprit sain dans un corps coupable.


(Musique d'ambiance : http://www.deezer.com/listen-4304649 )
Prénom : Inconnu.
Nom : Inconnu.
Surnom : Azmelak
Âge : Inconnu.
État civil : Inconnu.
Monture : Inconnue.
Ville : Inconnue.
Habitation : Inconnue.
Religion : Inconnue.
Race : Inconnue.
Classe : Inconnue.
Qualités : Indéterminées.
Défauts : Indéterminés.


Histoire :
Vous croyez peut-être me soutirer mes informations personnelles ? Vous croyez pouvoir réussir à me connaître ? Eh bien, allez-y, ou allez vous en. Avant que vous ne partiez, je vais quand même vous raconter une histoire, pour que votre quête n'ait pas été vaine...

C'est l'histoire d'un couple d'humains, assez banal dirais-je, qui a eu un enfant dans un moment de guerre... Cet enfant ne connut jamais ses parents puisque la mère mourut à l'accouchement, et le père fut déporté puis exécuté par la Horde. Cet enfant fut nourri et élevé par différentes familles, dans du marchandage d'enfants, ou autre. Mais les parents qui recevaient cet enfant n'en pouvant plus de ses cris, décidèrent chacun leur tour de s'en débarrasser. Ainsi fut-il à sept ans un enfant de la nature, errant dans des territoires hostiles en plein temps de guerre, il dût se défendre comme il le put, car personne ne pouvait lui apprendre à se défendre. C'est ainsi que sa chance et sa petite taille lui permit de survivre et d'échapper aux bêtes sauvages, aux ennemis ainsi qu'aux animaux affamés placés plus haut dans la chaîne alimentaire. À dix ans, il se trouvait par hasard dans la forêt d'Elwynn, quand soudain un homme l'aborda. Il lui promit une sécurité, une protection ainsi qu'une éducation maximale. Azmelak, paranoïaque de par son enfance difficile, eut du mal à se laisser convaincre, mais finalement se laissait tenter par le fait que l'homme en question lui ressemblait physiquement : un humain, également. L'homme en question emmenait le petit garçon à Hurlevent, afin de pouvoir le présenter aux troupes comme un nouvel élève. Ce qui fut dit fut fait. Le petit garçon avait à présent seize ans lorsque soudain on lui apprit que son enseignement n'était pas tout à fait terminé, sachant qu'on lui avait affirmé le contraire précédemment. Il allait devenir un paladin, et quel paladin ! Tout l'art ancien de la magie ancestrale de la Lumière lui était enseigné comme s'il s'agissait de simples leçons d'écriture pour nos chers futurs philosophes. La force augmentant, il ne lui manquait qu'un pouvoir à acquérir : La résurrection. Il avait beau essayer, il n'y arrivait pas, mais d'un autre côté, les autres pouvoirs déjà acquis surpassaient largement la puissance normalement estimée par ses maîtres.

Ainsi le pouvoir de résurrection ne lui étant pas accessible, il se disait que ce n'était pas un énorme défaut puisque ses maîtres le possédaient et il leur avait juré de ne jamais les quitter...Jusqu'à ce fameux jour... Pendant un combat acharné contre les ennemis des humains, Azmelak fut obligé d'abandonner ses maîtres puisque ces derniers ont péri de la main d'un elfe, se nommant Frost, si les souvenirs lui sont bons. Azmelak avait promis de retrouver ce Frost. Il parcourut de fond en comble Azeroth, en vain. Un jour, il croisa un homme, errant dans les terres étrangères. Regardez ce petit garçon car ce petit garçon, c'est Azmelak. En effet, toute l'enfance d'Azmelak était revenue sous forme matériellement existante, et Azmelak, qui savait donc ce que cela faisait, décidait de l'aider. L'enfant, de la même manière qu'Azmelak, alors âgé d'environ vingt-trois ans, ne se laissait pas berner aussi facilement, mais finit par accepter la main qui lui fut tendue pour les mêmes raisons que celles qui avaient poussé Azmelak à devenir paladin. Azmelak lui apprit ainsi tout ce qu'il savait, tout ce qu'il avait appris, excepté le sort de résurrection, étant donné que lui-même ne le maîtrisait pas. L'enfant finit enfin par lui donner son nom : Lasox. Azmelak consacra toute son énergie et tout son temps à lui enseigner son savoir. Lasox devenait plus puissant d'instant en instant, à une vitesse flagrante. Ainsi Azmelak décida de le récompenser pour ses efforts en lui forgeant une épée et en la lui offrant.

Plus tard, Lasox avait dix-huit ans, Azmelak trente et un, les deux amis étaient à Baie du Butin pour un voyage d'apprentissage pour Lasox, une recherche d'un ennemi pour Azmelak, la nuit il fut attaqué. Azmelak ne put pas se réveiller car il était déjà attaqué et donc n'avait eu aucune opportunité de se défendre. Il mourut sur l'instant et Lasox arriva trop tard pour le soigner, bien qu'il ait débarrassé l'endroit des assassins. Azmelak, quelques jours plus tard, se réveilla, dans un endroit totalement vide de vie, abandonné par les sentiments et hanté par les esprits. La nuit obscure était la seule chose existante et seul un rayon de lune était à peine visible dans ce noir profond. Azmelak marchait, mais ne sentait plus aucune sensation physique, il était faible, vide d'énergie, mais trouva au bout de peu de temps le château où autrefois il était entraîné. C'était à ce jour un tas de ruines hanté par la mort. Une attirance inexplicable attirait étrangement Azmelak à rejoindre ce château, ou plutôt ces ruines. Une fois la porte d'entrée franchie, une sorte de mur fluorescent d'un verdâtre assez inquiétant se dressait à ses arrières. La lumière étrange qui s'en dégageait lui permit de se voir un peu : Normal qu'il n'ait plus aucune sensation, il n'avait même plus de corps...Juste un ramassis de quelques lambeaux de peau attaché à son squelette, le tout enveloppé d'un tas de tissus déchiquetés. Les monstres à l'intérieur semblaient réagir bizarrement à son arrivée : Ils étaient antérieurement libres d'entrer ou de sortir du château, mais depuis l'arrivée d'Azmelak, on ne pouvait plus en sortir une fois entré... Ainsi les monstres semblaient lui attribuer un respect assez important. Azmelak était maître de sa prison... Qu'il baptisa la Prison Éternelle.

Tout le temps s'était arrêté dans cette prison de par l'isolement des lieux. Ils étaient isolés à un point où même Chronos les mettait de côté. Un jour, réussissant à sortir de sa prison, puisqu'il en était le maître, il trouvait un petit enfant errant, à peine âgé de trois ans environ. Ayant à moitié pitié de lui, il décida de l'apporter avec lui et de l'aider à grandir, malgré son internement. Mais à peine approché de lui, qu'il parlait déjà et essayait déjà de l'attaquer. Quand il l'amenait à la Prison, il prit une vingtaine d'années, il avait donc vingt-trois ans. Jamais Azmelak n'avait vu une telle force en une personne... Sa force était assez basse, mais son potentiel surpassait largement ses capacités. Il décida de lui apprendre le combat, afin qu'il devienne un guerrier polyvalent au combat. Mais il en voulait plus, il était très refermé sur lui même, dans cette Prison, Azmelak se souvenait avoir vu une bibliothèque cachée avec des livres sur la magie noire et décida qu'il était temps de les lui révéler à condition qu'il trouve cette bibliothèque lui-même. Ce que l'enfant fit, puis il apprit très rapidement les aptitudes machiavéliques des nécromanciens. Le nom de ce jeune homme était Arkham.

Mais un jour, Azmelak en eut payé le prix car Arkham fut obligé un jour de vouloir s'échapper afin de mettre tout son potentiel à rude compétition... Sa bonté lui avait coûté cher...


CHAPITRE IV : Le cœur n'est pas la seule pierre...

(Musique d'ambiance : http://www.deezer.com/listen-4224647 )

Lieux : Deuillevent, Bois de la Pénombre.
Personnages : Arkham, Moroes, Malchezzar.


Histoire :
Maintenant capable de bondir aussi loin que mon ennemi vaincu Dakam, je me mis en route en bondissant vers un lieu où me reposer de mes blessures avant de partir. Je savais qu'un village de l'Alliance avait été bapti un peu avant la frontière de Deuillevent. Oh, non, c'était à l'autre bout de la région... Tant pis. Bondissant tel un lion chassant sa proie, je fuyais le combat n'étant pas d'habileté à affronter une nouvelle fois tous ces monstres sans avoir récupéré, quand self-défense rime avec courir vite... Quoi qu'il en soit, en quelques bonds j'eus parcouru un bon quart de la région, quand un homme m'interpela. Il me demanda si je pouvais l'aider, ce que j'acceptai, n'y voyant pas d'objection. Il voulait que je le ramène au village. Je l'eus fait. Ensuite, il me raconta quelque chose d'assez troublant.

Sa femme et son enfant avaient été capturés par Moroes, un mort-vivant haut placé dans le donjon de Karazhan. Il menaçait de les tuer si le vieillard ne le payait pas régulièrement. Ce dernier ne pouvait plus payer et donc sa famille n'a plus qu'une douzaine d'heures à vivre à présent. Je ne savais pas ce qu'était le donjon de Karazhan, mais je promis d'aller sauver sa famille. Le vieil homme me donna une carte de la région voisine, Deuillevent, où se trouvait le donjon en question. Cela tombait plutôt bien, je devais passer par là afin de pouvoir aller sauver Elenna. J'étais parti pour Karazhan.

À peine arrivé dans la région de Deuillevent, j'étais sacrément surpris : L'environnement passait sans même avertir d'un lieu pénombreux et "végétalisé" à un endroit sec, rocheux, montagneux, inquiétant. Tout était de pierre ici, du sol aux dunes qui fabriquent ainsi montées un labyrinthe. Je comprends l'utilité de la carte à présent. On y voyait le ciel étant la seule source de lumière, avec la lune, rouge comme la braise, de la lave en fusion sortant des geysers de pierre et manquant de me brûler. Le chemin était parsemé d'obstacles, des créatures diaboliques aux obstacles matériels, en passant par les rapaces opportunistes. N'ayant pas de temps à perdre, je suivais la carte sans me soucier du reste. Au bout de quelques erreurs, demi-tours etc, j'étais en moins de deux heures devant le donjon. Une énorme grille séparait l'entrée du reste. Je me cachais, voyant quelqu'un arriver. C'était un homme étant de la troupe du donjon. Il ouvrait la grille, je le suivais et entrais, puis l'assassinais. Je me rendis à l'intérieur, combattant très difficilement les troupes de Moroes, mais j'y arrivais. Finalement Moroes et ses hommes de main étaient les seuls restants.

Mais, que vois-je ? De nouveaux hommes ? Qui arrivent derrière moi ? Pourtant, j'ai exterminé tout le monde... Mais... Ce sont des humains, et des membres de l'Alliance... Ces hommes se lancèrent tête baissée sur le groupe de Moroes, et moi j'attaquais Moroes, aidé de mes quelques camarades. Moroes était un être vivant très puissant, ou plutôt très malin : Il agissait comme un voleur, par derrière. Mais j'arrivais quand même à ne pas prendre un mauvais coup. Pendant un instant, il disparaît pour apparaître derrière moi, et, essayant de me poignarder aux reins, j'esquivai sur le côté et lui coupai les mains et pour être sûr qu'il ne ferait rien d'autre, tous les membres.

Il ne voulait pas me dire où se trouvait la famille du vieil homme. J'ai dû lire dans son esprit, et ainsi découvrir que Malchezzar la retenait prisonnière. Une fois fait, je guillotinai Moroes, absorbai son pouvoir, et, avec mes nouveau camarades, nous nous rendîmes jusqu'à son domaine. Il ne restait plus que quelques minutes, à peine quarante... Le combat contre Malchezzar était doublement plus difficile que contre Moroes, mais nous étions tous sur lui, ce qui nous redonnait l'avantage perdu par la puissance de Malchezzar. Les mages, les prêtres, les chasseurs, les guerriers, et toutes les autres classes possibles étaient là, à m'aider à tuer Malchezzar, tout en faisant attention à ne pas toucher la famille, un peu plus loin. Malchezzar tombait à une demi-douzaine de minutes de l'échéance fatale. Les autres ne venaient finalement que pour les objets de valeur que possédait cet endroit... Je les laissai dans leur semblant de bonheur et partis avec la femme et l'enfant dans les bras, après avoir absorbé le pouvoir de Malchezzar.

Mais la nature en avait décidé autrement : Tout se mit à trembler tel lorsque le Maelström s'est créé. Les pierres tombaient, éclataient, volaient, se fissuraient aussi bien dans les dunes qu'au sol, ce qui créait parfois des entrailles dont le dessous n'était autre que l'enfer. J'ai dû faire vite pour m'échapper, puis je finis par revenir au Bois de la Pénombre, par chance. Finalement je rendais sa famille au vieil homme, auquel je demandais une rémunération. Je voulais simplement qu'il m'aide à trouver le chemin le plus court pour aller aux Péninsules des Flammes Infernales. Il me donna une carte volontairement et sans hésitation me montrait le chemin pour le portail pour aller en Outre-Terre, et je devais passer par le marécage d'Aprefange avant d'arriver dans la région où se trouvait le portail. Allons-y...


PARTIE IV : Il n'y a pas plus dangereux que quelqu'un qui n'a plus rien à perdre.


(Musique d'ambiance : http://www.deezer.com/listen-4093059 )
Prénom : Dakam.
Nom : Inconnu.
Âge : 24 ans.
État civil : Célibataire.
Monture : Tigre Zulien.
Ville : Aucune.
Habitation : Aucune.
Religion : Aucune.
Race : Elfe de la nuit.
Classe : Voleur.
Qualités : Très discret, très agile.
Défauts : Très imprécis de donner des défauts.


Histoire :
Mon nom est Dakam, et je ne vois pas quoi vous dire de plus. Ah, si, je vais vous dire ce qui me pousse à créer ce clan mesquin qu'est celui des nocturnals Prowlers. Je me lance :

Lorsque j'étais petit, mes parents me vilipendaient déjà avec leurs critiques blessantes et offensantes pour que je devienne un homme. Je les acceptais car j'aimais beaucoup mes parents. Pardon, que dis-je, je les aime toujours... Enfin, bref, passons, ma vie d'enfance était remplie de reproches parentaux mais aussi de bonheurs amicaux. Ah, mes amis, qu'est-ce que j'étais content de les retrouver à l'école pour les charrier et pour m'amuser avec eux. Il faut dire que je n'étais pas très doué à l'école, sauf pour les apprentissages des langues et de l'apprentissage de sports divers et variés, comme par exemple la monte ou alors l'escrime.

Quand mon adolescence est arrivée, les problèmes lui tenaient compagnie... Étant trop médiocre au niveau de mes résultats pour suivre des études et devenir peut-être mage, ou prêtre, et n'étant pas du genre à aimer la nature au point de la vénérer, j'ai dû me résoudre à rejoindre l'armée pour suivre une formation. Dès mes dix-sept ans, je rejoignais déjà le front pour combattre pour l'Alliance, tel un guerrier furieux et avide de combat, étant impatient de tuer des orcs, des trolls, et autres... J'étais plein de pulsions meurtrières, un gros sadique à cause des choses horribles que j'ai vues pendant ma formation... Je ne ressentais plus grand chose à l'égard des autres... Mais je restais encore "humain", oui, j'utilise ce terme au sens d'humanoïde, car je suis avant tout un Kal'dorei, donc j'avais encore un peu de culpabilité lorsque mes amis du campement étaient blessés ou simplement mes camarades...

J'ai perdu tous mes amis sans exception à la guerre, massacrés par tout ce qui est possible et imaginable. À la fin de la guerre, je fus autorisé à retourner auprès des miens à 24 ans. Mais la joie ne fut que de courte durée... À peine étais-je entré dans ma maison natale que je trouvais mes deux parents morts allongés dans une flaque de sang, et mon frère, Aiolos, avait disparu. L'assassin m'est encore inconnu, mais quand j'ai demandé à l'Alliance, à mes..."frères", et j'ai mal au cœur d'avoir à utiliser ce terme, de faire une enquête à propos de ce meurtre, je n'ai eu droit qu'à des moqueries, des critiques, ou encore des "va te faire voir."... Ma haine devenait sans fin, je sentais une colère noire monter en moi. Je n'étais désormais plus un membre de l'Alliance...

Ma haine était telle que je n'ai pas pu me retenir de frapper le mur jusqu'à le casser, un mur en brique. Sur les nerfs, je ne sentais rien, je frappais, frappais et frappais pour calmer ma rage, mais à la fin, j'avais mal à la main droite. Tellement mal... La douleur n'avait d'égale que ma douleur intérieure. Tout ce qui était de métal, donc mon armure, car j'étais un guerrier à l'époque, je m'en débarrassais. Je ne porterai que des armures légères pour devenir bandit, mercenaire, ou un truc dans le genre... Seule ma lame serait en métal, et encore, elle serait plus couverte de sang qu'autre chose...

Plus tard, après avoir accompli des "sales boulots", des assassinats, des vols, des espionnage, je croisai en chemin un homme, qui disait s'appeler Yagura, puis Aiolos, respectivement mon ami et mon frère... Ils recherchaient également la paix intérieure et, comme moi, ne la trouveraient qu'en retrouvant l'assassin de mes parents...



CHAPITRE V : Qui a dit que l'eau donnait la vie ?(1)

(Musique d'ambiance : http://www.deezer.com/listen-4093003 )
Personnage(s) : Arkham.
Lieu(x) : Marécage d'Aprefange.


Histoire :
Bondissant sans trop m'épuiser grâce à mon fameux pouvoir, j'étais rapidement arrivé à Aprefange : rien qu'au nom, cette zone me donnait déjà la chair de poule... Enfin, ce n'est qu'une façon de parler, je ne ressens plus la peur depuis un moment, je ne sais déjà pas ce que je suis, je ne vais pas en plus me soucier de quelques pathétiques ressentiments... Ceci étant dit, cela ne veut pas dire que je ne suis plus capable de ressentir autre chose, par exemple, pourquoi suis-je actuellement en train de voyager et de combattre ? Pour sauver mon amie, qui je l'espère sera plus qu'une amie dans le futur, et d'ailleurs la sauver ne sera qu'un argument d'amour pour lui montrer que je l'aime. Enfin, bref, l'heure n'est pas aux sentiments mais au combat, et on le sait, on se bat tous pour des sentiments, qui nous sont connus ou non, que ce soit par amour pour sa patrie, ou par simple sadisme, c'est une sorte de joie intérieure bien que le malheur serve de masque à ce dernier, ce qui nous fait souffrir, tous.

L'entrée n'était guère plus rassurante que le nom : La terre y était quasiment inexistante, ou alors sous forme boueuse, car en effet l'eau est en abondance ici. Une eau à l'apparence sale, sans fond et plutôt étrange. Les quelques arbres qui habitaient la zone étaient d'un tronc assez gros, et leur feuillage couvrait entièrement le ciel, ce qui rendait l'endroit assez peu chaleureux, d'un air, d'une atmosphère plutôt verdâtre foncé, ceci étant dit, je n'allais pas pour autant baisser les bras. J'avançais en faisant très attention à sur quoi je marchais, on ne savait jamais sur quoi on risquait de tomber. La surface boueuse étant de plus en plus rare, j'avais du mal à avancer, d'autant que la plupart du temps, ce n'était pas que de la boue, mais de la vase. En avançant, j'avais apperçu un camp de la Horde, je ne sais pas trop ce qu'ils y faisaient, mais ils n'y étaient pas très nombreux, cela dit, je les comprends, ce n'est pas un lieu fréquentable, mais ils ont quand même de la chance, ils ont sûrement trouvé la seule zone où la terre est sèche et "sécurisée". Bref, ne voulant pas d'ennui, je contournai le village et me remis en route.

La zone commence à grouiller de crocodiles et de créatures sorties des profondeurs que je tue sans trop de difficulté avec quelques sorts appris lorsque je n'étais pas encore... dans l'Alliance... Rien que le mot me répugne, mais j'aime cette faction, je devrais les remercier, car grâce à eux j'ai retrouvée... Je ne vais pas me répéter, je risquerais de me faire admonester, ce qui compte, c'est avancer. Bref, j'immolais les uns, j'envoyais les autres dans le néant ténébreux des enfers, et le tour était joué. Les créatures déblateraient voire divagaient dans leur douleur. Mais peu importe, je n'écoutais pas. D'ailleurs, des créatures qui parlent... Je ne vois pas pourquoi quelqu'un resterait là. Bref, fustigeant les crocodiles pour m'avoir attaqué, j'avançais péniblement.

Soudain, au loin, je vis une grande zone aquatique, stigmatisant d'une manière évidente une sorte d'entrée de temple en plein milieu. Un temple semblerait-il englouti sous cette eau. Ne préférant pas nager, je bondis d'un trait sur place et vois que le temple est...vide. Mais l'entrée n'est pas bloquée, j'entre donc. Peut-être que c'est un raccourci pour aller aux Péninsules. Mais je reste prudent, peut-être que c'est une embuscade, peut-être le lieu est-il hanté par je ne sais quelle créature... Aucune idée. Je descends donc les longs escaliers, encore et encore des escaliers... Soudain le passage est bloqué du point de vue terrestre, après une grande flaque d'eau, qui en réalité est beaucoup plus profonde que ça. Je plonge, me disant que je n'en ressortirai pas forcément perdant pour me donner du cœur à l'ouvrage. Car en effet, l'eau est sale, boueuse, grouille d'algues et de toute autre crasse pouvant déranger le bon déroulement de la nage. Je me suis presque cru dans les abysses...

Qu'est-ce que je veux dire ? Peu importe, je vous raconterai ça plus tard, pour l'instant vivons au jour le jour et allons donc dans ce temple... À peine sorti de l'eau, des créatures étranges, verdâtres, toutes, des trolls, des monstres, des abominations... Toutes suantes et faisant des sortes de sacrifices... Les trolls étaient du même vert que les pierres de ce temple et semblaient dominer ce temple car c'étaient eux qui avaient l'air de donner les ordres...


PARTIE V : Drôle de réveil...



(Musique d'ambiance : http://www.deezer.com/listen-4092055 )
Nom : Inconnu.
Prénom : Inconnu.
Race : Humain.
Classe : Aucune précise.
Capacités : Excellente maîtrise des armes.
Surnom : Frost.
Religion : Aucune.
Monture : Aucune.
État civil : Apparemment marié.
Qualités : Excellente maîtrise des épées, rapide, agile, souple, pas très puissant mais ses attaques sont meurtrières bien placées.
Défauts : Mauvais contrôle de soi.

Histoire :
Où suis-je ? Comment suis-je arrivé là ? Qui suis-je ? Je ne me rappelais de rien... J'étais presque nu à part quelques habits de paysan dans une caverne humide et j'étais attaché dans la pénombre de la nuit, éclairé par un rayon de la lune, tel du zircon dans un océan de diamants...Que m'arrivait-il ? À en juger de mon état et des circonstances dans lesquelles je me trouvais, j'allais sans doute être sacrifié... Mais pourquoi moi ? Je n'étais qu'un simple paysan ! Ah, non, la mémoire semblait revenir, ou bien ce n'était que mon imagination... ? Je me rappelle de cette explosion... Et puis d'un coup, mon âme commençait à s'éteindre, je sentais ma vision se troubler, mes membres trembloter de peur et de froid... Et puis, plus rien.

Je me suis réveillé, je ne savais pas combien de temps après, mais peu importe, ce qui m'importait le plus, c'était ce qu'il m'arrivait... J'étais là, allongé sur un lit, quand une femme vint me trouver, prétendant être une de mes anciennes général. Un paysan, roi ? Comment cela se pouvait-il ? Cette femme, habillé d'une robe sombre et d'une capuche de moine, avec juste une mèche brune ressortant d'un trou dans la capuche, était visible d'elle. Même son visage m'était inconnu à la vision comme à la mémoire. Que me voulait-elle réellement ? Elle m'avoua ensuite être ma femme. Avais-je une femme ? Tout ce qu'elle m'a dit, c'est que je dormais depuis près de 200 ans...La mémoire me revint, il y avait cette guerre... Cet ennemi, ayant une rivalité incomparable. Je devais en savoir plus...

J'ai dû sortir un peu pour m'aérer, reprendre le chemin de la conquête que j'avais apparemment déjà conquis, je n'étais que dans une cabane de banlieue, seuls quelques elfes de sang semblables à moi étaient encore en vie, mais je ne les voyais pas...Soudain, j'entendis une voix "N'aie pas peur, c'est moi, Sonia". Et ? Qui était-elle ? "Ta général et ta femme...". Ah. Aussi étonné que quand l'on m'a dit que mes parents étaient morts, je trouvais ses paroles ennuyantes...Mais je les aimais. Je me baladais un peu dans des coins sombres où je trouvais une armure noire... Je l'enfilai vite, et je sentis ma force augmenter à une vitesse assez spectaculaire... Je devais parcourir toute la ville, en m'entraînant à frapper sur de vieux bandits humains pour pouvoir reprendre mes aptitudes au combat. Au fur et à mesure que j'avançais, la mémoire me revenait : J'étais le seigneur de l'effroi glacial, ne servant personne, ne défendant que mes convictions. Je me battais en guerre contre les trolls. Quand je m'approchais de mon but, je ne voyais bizarrement que des femmes... Les hommes devaient avoir péri pendant la guerre et beaucoup de femmes étaient mortes pendant qu'elles cousaient des habits pour les hommes, des armes, des boucliers, toujours pour ces derniers... Mais il restait encore quelques survivantes, une dizaine environ.

J'arrivai au bout d'une longue traque de ces créatures dans la banlieue dans un bar, où l'on m'a dit de parler au marchand de journaux, qui me dirait où je devais aller. J'y allai. Ce dernier m'a dit que je devais aller dans la taverne abandonnée du Lion Majestueux. Se moquait-il de moi ? C'était à l'autre bout de la ville... Mais, je m'y rendais pour en avoir le cœur net, mais avant, une espèce d'ancienne forge ou quelque chose dans le genre, ouvert par un tunnel d'égout... J'entrai. J'arrivai dans une salle vide, sous un espèce de chemin de bois au dessus de l'entrée. Quelqu'un m'attendait. Qui était-il ? C'était, le prétendait-il, un ami, que j'aurais trahi par mon orgueil précédant mon sommeil... Que voulait-il ? Il avait rejoint l'ennemi et les servait avec honneur. Mes ennemis, qui étaient-ils déjà...? Les pathétiques trolls...Tout d'un coup, illumination dans ma tête, alors que la salle était extrêmement sombre...Cet ami, c'était Turalyon, un ami et un vaillant combattant. Tout d'un coup, Turalyon me sautait dessus. Un combat sanglant à mains nues s'en suivit. Combat long d'environ trente minutes, des coups sanglants se portaient sur tous les endroits possibles. La figure en sang, les vêtements déchirés, complètement exténué, à genou et me tenant encore sur un bras, j'étais vivant, et lui mort. Je n'étais pas fier de mon acte, mais je ne faisais que de me défendre...

Puis, mon âme se mit à se troubler, je sentais quelque chose approcher : Ce n'était pas une hallucination, c'était bien vrai, une lumière s'approchait de moi. C'était en fait une épée que je saisissais en saisissant cette lumière. Cette épée était enflammée.

J'arrivai à cette taverne. Il n'y avait rien, sauf une espèce d'entrouverture grande comme un trou à souris... Avec ma nouvelle arme, je détruisis ce mur, qui semblait très fragile. Un groupe de "monstres" m'attendaient. Quand je dis monstres, je veux dire des sortes d'elfes déformés par le combat, remplis de cicatrices... Et en tout genre à tout endroit. Que me voulaient-ils ? Sûrement me confier une mission. Cette Sonia était là, elle aussi. Elle disait m'avoir trouvé aux autres, et tout un pacotille de choses inintéressantes à mon goût. Ces messieurs me considéraient comme "La prophétie" et me racontaient mon histoire qui ne semblait pas si glorieuse par moment...

Voilà l'histoire contée : Je suis le fils d'un sin'dorei bourgeois qui donc gagnait plutôt bien sa vie, mais vécut assez peu de temps. Ma mère était partie pour raisons inconnues. J'ai dû grandir dans le peu de luxe que je pouvais m'offrir comparé à ces riches dans la cité de SilverMoon. J'ai, d'après les dires été un grand chevalier, devenu un grand roi, avec des pouvoirs surpassant l'imagination. J'avais un grand ennemi à l'époque : Les pathétiques humains, qui m'avaient tout pris. Je possédais une arme mythique, qui a d'ailleurs disparu matériellement. En faisant une guerre contre les humains sans merci, lors d'une bataille nocturne, mes troupes à l'arrière, moi, en haut d'une pierre, brillant dans la nuit, avec le chef de l'armée adverse, étant dans la même position en face, se tenant devant ses troupes... L'assaut était lancé par un cri de guerre étrange. La bataille fut sanglante, des corps tombaient de partout, des éclaboussures de sang se voyaient partout telle une coloration rougeâtre du visage par l'effort fourni en trop grande quantité, les coups volaient comme des gouttes de pluie, les cris de douleur s'entendaient plus fort que le hurlement du tonnerre, et moi, je livrais un combat sans pitié avec cet homme, ce chef...Mon épée bien que mythique, n'arrivait pas à terrasser cet homme. Il portait, je crois, une sorte de collier étrange, annulant la puissance runique de ma lame. Il m'a terrassé, détruisant mon arme, qui entrait en moi sous forme de poussière...C'est là que mon sommeil débutait...

Je me fus juré de le lui faire payer. Je pris quelques résistants avec moi et nous accomplissions des petites quêtes afin de retrouver notre ancien ennemi. Tout avait changé dans cette ville...À mon réveil, il m'est arrivé ce que j'ai cité plus haut... Et maintenant, je suis parti pour retrouver cet homme et récupérer la place de roi qui me revient... Les quêtes s'accomplissaient au fur et à mesure que j'avançais. À chaque énigme résolue, une nouvelle se soulevait. J'ai dû aller partout dans le continent, afin de retrouver quelques indices et objets afin de pouvoir récupérer mon ancien pouvoir. Tout au long de mon voyage, je rencontrais d'anciens serviteurs ainsi soumis par cet homme, j'ai dû les vaincre et j'ai ensuite volé leur âme, telle une inspiration de l'air, l'âme en était mon oxygène. À la fin, une des femmes qui m'avait tout rappris, voulait me trahir en me volant le collier, prétendant à un trop grand risque. Quel collier ? Celui que portait le roi qui allait tomber, que j'avais été voler dans une chambre secrète. J'ai dû la tuer, désolé. Maintenant, je suis parti pour me rendre dans sa forteresse. Une longue suite d'énigme et d'épreuves que je devais accomplir seul puisque tous mes assistants étaient tombés. J'ai dû passer par la fosse d'eau à remplir pour passer de l'autre côté de la pièce, des créatures démoniaques quasiment indestructibles tellement leur peau était épaisse, et leur puissance dévastatrice. J'ai dû utiliser des machines humaines utilisées pour les contrôler. Enfin, toute une série d'épreuves quasi insurmontables sans certaines facultés que j'avais re-développées en chemin, comme la télékinésie, le contrôle mental, mais aussi des facultés physiques comme la faculté de la furie, une attaque équivalente à une attaque de ces démons, la faculté Berserker, un assaut extrêmement puissant. Certes, passons ces développements. J'arrivai dans une salle avec une sorte d'ascenseur qui m'emmenait sur un endroit où il était là... Avec une épée froide comme le blizzard, blanche comme la neige, solide comme la glace. Il était là, à canaliser on ne sait quoi. La discussion fut provocatrice, comme deux femmes se disputant. Mais le combat en fut des plus destructeurs, j'ai dû sacrifier mon collier pour détruire ses œuvres et le détruire un peu. Je le jetais dans l'abîme qui était en dessous de la petite plateforme où l'on se trouvait. Tout se mit à trembler et l'on dût aller dans un lieu plus sécurisé pour finir le combat. Ce dernier était long, ennuyant et tellement puissant que les deux armes, le feu et le givre se rencontrant, tel l'ombre et la lumière, le bien et le mal, que des ondes en étaient propulsées de partout. À la fin, le terrassement qu'il m'avait infligé jadis lui était retourné. Il était là, assis, épuisé, j'ai abrégé ses souffrances. Son épée, en givre, je la prenais, et m'enfuyais. La vengeance était enfin mienne.

J'étais à présent un chef de deux ou trois résistants, la race humaine fut quasiment détruite, et ce qui en restait était à mon service. Diriger, ou être dirigé ? Décapiter, ou ne pas décapiter ? Telle était la question à présent. Notre quête restera secrète jusqu'à nouvel ordre...




Yuri Boyka
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Message par S.T.O Dim 8 Aoû - 17:52

On connait ça bien.
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Message par Yuri Boyka Dim 8 Aoû - 18:00

S.T.O a écrit:On connait ça bien.

De quoi ? ;-((

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Message par S.T.O Dim 8 Aoû - 18:05

De gm fjzgfffddj
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Message par Yuri Boyka Dim 8 Aoû - 18:45

Y a des choses que j'ai jamais postées, à vous de les retrouver. Wink

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Message par Xenophilius Dim 8 Aoû - 20:57

Ca ROXXX
La musique, le thème, tout concorde, tout est parfait ! GAYGAY
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Message par Neosphaler Dim 8 Aoû - 22:29

Je lis demain la flemme Very Happy
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